Des sites exceptionnels...
- La Dune du Pilat, 2700 mètres de long et 105 mètres de haut, un record d'Europe,
- Le Banc d'Arguin, un superbe terrain de jeux pour le sable, l'eau et le vent,
- L'île aux Oiseaux, une île mystérieuse au centre du Bassin, gardée par les célèbres Cabanes Tchanquées
- Le Delta de la Leyre, un lieu de rencontre magique entre eau douceet eau salée,
Et beaucoup d'autres lieux superbes que je vous invite à découvrir sur mon site.
Un lieu de vie, de tradition, et de migration...
- Des rives bordées de villes et de villages pittoresques,
- Un chapelet de ports ostréicoles, où se mêlent tradition et modernité,
- Ses typiques embarcations de pêches : pinasses, pinassottes, canots...,
- Une terre de vie, de repos, et de reproduction pour plus de 300 espèces d'oiseaux parmi lesquels de nombreux migrateurs,
que je vous invite aussi à découvrir sur mon site.
La pinasse est l’embarcation typique du Bassin d'Arcachon : longue, étroite, à l'avant très relevé, elle est traditionnellement en bois de pin des Landes et à fond plat. Avec l'évolution des techniques et des usages, ses flancs se sont élargis pour accueillir un moteur, et les matériaux composites remplacent parfois le pin. Marchant à la voile ou au moteur, elle a retrouvé aujourd'hui une grande popularité. Les pinasses ne sont plus utilisées aujourd'hui pour la pêche ou l'ostréiculture (sauf pour quelques rarissimes vieux marins), mais pour la promenade, la plaisance et les régates.
Afin de mieux comprendre le Bassin d'Arcachon, il faut comprendre...
Pour comprendre toute la richesse de ce patrimoine, il faut comprendre le "parler" de chez nous.
Amis de passage, si vous ne comprenez pas notre langue, c’est un peu de notre beau Bassin, un peu de la saveur de nos huîtres que vous perdrez.
La "cabane" : est, ou plutôt de nos jours était, l’atelier de travail de l’ostréiculteur, l’endroit où il entrepose ses outils et aussi le lieu de rencontre des marins pour un brin de causette. La cabane est construite en bois de pin de nos forêts. Elle était autrefois pratiquement toujours peinte avec l’huile de vidange des moteurs ce qui donnait au bois cette couleur très particulière. Aujourd'hui, pour des raisons écologiques, des peintures donnant un couleur marron semblable est utilisée. Le chauffage se faisait à l’aide de vieux poêle à bois et l’accueil y était très chaleureux. L’intérieur d’une cabane était très typique : on y trouvait bien des objets insolites par rapport à l’abri de travail qu’elle représentait (photos de rugby, photos souvenirs...) enfin un décor qui reflétait, à chaque fois, les passions de son propriétaire. De nos jours, les constructions neuves métalliques ou en ciment remplacent les cabanes pour des raisons d’hygiène européenne. C’est d’ailleurs fort dommage pour l’oeil du visiteur car ces bâtisses modernes gâche un peu le décor typique de nos si jolis ports.
La "pinassote" : à rames ou à voile, ce fut la première embarcation du marin. A noter que la pinassote à voile s’appelle aussi la "filadière" (cette dernière étant plus spécialement réservée à la pêche au filet d’où son nom). La pinassote a été remplacée par la pinasse mais il en existe encore sur le Bassin. Par souvenir et aussi par nostalgie, elle refait sa sortie lors de nos célèbres courses de pinassotes : régates ou jeu typique très apprécié durant la période estivale. Vous pouvez admirer ce spectacle, rappelant la vie de nos marins à la fin du XIXème et au début XXème siècles, lors de La Fête de Larrostrea qui se déroule à Gujan-Mestras, chaque année, durant la deuxième quinzaine de juillet.
La "pinasse" ou "pétroleuse" : fille de la pinassote, elle a fait son apparition au début des années 1920 remplaçant sa mère devenue très âgée (d’après certains textes la pinassote remonterait à 1553). Elle bénéficie d’un moteur et d’un tirant d’eau plus important. Si les rames ou les gréements de sa mère ont disparu, la pinasse a aussi sa particularité : le tac-tac harmonieux à deux tons de son moteur qui fait partie intégrante de paysage sonore de notre Bassin.
La mère comme la fille ont pour origine de leur nom tout simplement le bois de pin matériau de leur construction et sont, chacune à leur époque, la Pin-up du Bassin. La carène est étroite, le fond plat, des quilles d’angles, une étrave arrondie et cambrée comme un nez en trompette. Son faible tirant d’eau (15 à 20 cm seulement) lui permet de remonter les canaux à leur plus bas niveau mais elle peut s’échouer facilement. Sa longueur varie entre 9 à 10 m (contre 6 à 7 m pour la pinassote). Les douanes recensaient en 1901 environ 8150 pinassotes. L’Arcachonnais Couach est en France l’inventeur du premier moteur spécialement conçu pour la marine. Notre Bassin fut donc le pionnier de la motorisation en comptant, en 1913, autant de bateaux à moteur que le reste de la France. De nos jours, les pièces maîtresses de la pinasse sont en chêne, les membrures en acacia et le bordé en acajou : le bois de pin a été supplanté. A noter que les pinasses portaient toujours les couleurs de la maison de son propriétaire. De loin, en apercevant une pinasse, chaque marin (sans avoir besoin de lire le nom inscrit sur la coque) savait à qui elle appartient. Il y a encore quelques années, Gujan comptait jusqu’à six constructeurs contre deux seulement à La Teste (excusez encore ce petit chauvinisme ou rivalité qui a longtemps envenimé les relations avec la Commune voisine).
De nos jours, il ne reste plus à Gujan qu’un seul constructeur traditionnel de pinasses : le chantier Dubourdieu (dont l'ancien propriétaire, Jean-Pierre Dubourdieu représentait le cinquième d’une génération de charpentiers de père en fils: le chantier était resté une affaire de famille depuis sa création en 1800. Aujourd’hui la construction d’une vraie pinasse est rarissime du fait de son coût très onéreux. Seuls quelques clients aisés, des résidents d’été étrangers commandent une copie de notre pinasse traditionnelle.
Le "rouf" : est l’abri au milieu de l’habitacle de la pinasse réservé à protéger le moteur des intempéries.
Le "parqueur" et la "parqueuse" : ce sont tout simplement l’ostréiculteur ou l’ostréicultrice. Leur nom a pour origine les parcs sur lesquels sont cultivées les huîtres. L’habit typique du parqueur se composait d’un pantalon et d’une vareuse bleus. La coiffe du parqueur était le béret noir (cousin du béret landais). La parqueuse quant à elle était autrefois vêtue d’un pantalon de flanelle rouge, d’une vareuse bleue et était coiffée de la très coquette "benaise".
La "benaise" : était la coiffe traditionnelle de la parqueuse qui la protégeait à la fois du soleil et du vent. Cette parure très féminine est apparue à la fin du XIXème siècle.
Cette coiffe était tendue à l’aide d’arceaux d’osier recouverts de tissu. Elle enserre la nuque, encadre le visage, se ferme à l’aide de deux rubans du même tissu noués entre eux et se termine dans le cou par des pans de tissu plissés. De nos jours, cette coiffe est toujours artisanalement confectionnée par quelques rares mains afin d'être portée lors de manifesations et pour faire perdurer le patrimoine local.
Un "arrouye" est un petit chenal se jetant dans un plus grand ("estey"), à sec à marée basse.
Un "estey" est un petit chenal qui serpente dans des terres argileuses ou vaseuses émergeant à marée basse appelées "crassats".
Les "crassats" sont les terres argileuses ou vaseuses émergeant à marée basse.
Un "boudic" est un ver de terre utilisé pour la pêche à la ligne.
Un "cayok" ou "cailloc " est une mouette ou ungoéland.
Un "chancre" est un crabe et la "chancrière" est la cage servant de piège à crabes.
Une "coutoye" est une palourde.
Un "crohot" est un trou, une fosse.
Un "esquirey" est un profond filet muni d'un pourtour avec un long manche en bois filet pour pêcher la crevette (de "esquire" : crevette).
La "foëne" est une fourche aux pointes terminées en hameçon pour pêcher les anguillles et poissons plats.
Le "graouey" est le gravier constitué de coquilles d’huîtres.
La "hagne" est la vase que l’on trouve dans les profondeurs des ports ou des chenaux, sur les parcs à huîtres ou les terres découvertes à marée basse.
Le "lime" est une algue qui se développe au printemps.
La "loubine" est le nom local donné au bar ou loup de mer.
La "maline" est une période de grandes marées, contrairement au "mordo" qui est une période de très petites marées.
La "manne" est un casier servant au transport des huîtres.
Les "mastouns" sont les patins pour marcher sur la vase (autrefois en bois, ils sont maintenant remplacés par des matériaux plus modernes).
Les "mattes" sont les prés-salés, d’argile, seulement recouvert par les marées de coefficient supérieur à 90.
La "panetière" est un filet pour empaqueter et transporter les huîtres.
La "pante" est filet de chasse pour les alouettes et également la zone où l’on installe ces filets.
Un "pignot" est un piquet ou poteau en pin planté dans le sol pour délimiter et protéger les parcs à huîtres.
Une "porte" est un passage pour les bateaux entre les parcs à huîtres.
Un "rouspic" est une fronde pour la pêche.
Le "tatch" est un haut fond qui se découvre à marée basse. Désignait aussi la pêche au canard et le filet utilisé pour cette pêche
Des "tchanques" sont des échasses. D’où le nom de "cabanes tchanquées" sur l’Ile aux Oiseaux (cabane sur échasses)
Une "tonne" est une cabane flottante pour la chasse aux canards et le "tonnayre" est le chasseur à la tonne.
Les "cipes" sont des seiches ou sépiides. Leurs petits s'appellent les"casserons". La seiche commune est proche ducalamar ou encornet.
Les "pignots" sont de longs bois de jeune pin coupés et plantés à la verticale qui servent à délimiter les parcs. Ils forment ainsi une barrière de propriété. La partie haute des pignots est toujours visible à marée haute. L'endroit laissé vide de pignots est la "porte" qui permet au bateaux de pénétrer sur le parc. Ces pignots, bien que se ne soit plus leur utilité, sert de capteur aux huîtres sauvages, appelées huîtres de pignots et aux moules.
Le "tatch" est un terrain non occupé par la culture de l’huître et souvent très riche pour la collecte des coquillages tels que les "couteaux" (coquillage long en forme de manche de couteau d’où son nom) et les "clovis" ou palourdes appelées aussi "coutoyes".
Le "détrocage" est l’action de "détroquer" qui consiste à décoller méticuleusement le naissain des petites huîtres à l’âge de 8 mois captées sur les tuiles (l’opération est très minutieuse car il ne faut surtout pas blesser les huîtres ; une huître abîmée est une huître perdue). Pour ce faire, on utilise un "couteau à détroquer". Les petites huîtres ainsi détroquées sont ensuite jetées sur les parcs à huîtres. A noter qu’autrefois le détrocage et le chaulage des tuiles se faisaient en parfaite cohabitation envers marins : les uns venant donner un coup de main aux autres et vice versa.
Le "désatrocage" est l’action de désatroquer qui consiste à détacher les huîtres qui ont poussé et grandi en se collant les unes aux autres. Cette opération est aussi minutieuse que le détrocage car il ne faut surtout pas endommager les huîtres. Pour ce faire, on utilise le "couteau à désatroquer".
La lettre "t" en fin de mot se prononce même suivi d’un s, le "ey" se prononce èyeu… Et maintenant reste à prendre l’accent qui accompagne le parler.
La "Chanson du Bassin" a été écrite vers 1930 par un ancien instituteur de Gujan-Mestras (Pierre Denjean). Elle se chante sur l'air de la "Madelon". Mon papa (décédé) a été l'un des élèves qui l'ont interprétée la première fois à l'occasion d'une fête communale. Aujourd'hui, cette chanson fait partie du Patrimoine du Bassin (et surtout de Gujan-Mestras) et se chante en toute occasion festive.
Et voici les paroles de la chanson :
1er couplet :
Est-il des coins plus enchanteurs sur la terre
Que sur les bords de notre si beau bassin,
Des lieux charmeurs où l’on ne peut que se plaire,
Un climat doux, du vent frais, un air sain.
Notre Bassin est la merveille
Dont tant de pays sont jaloux,
Dans bien des cœurs son nom éveille,
Un écho tendre, écho bien doux.
GujanMestras, Le Teich, Lanton, L’Herbe, Andernos,
La Teste, Audenge, Arès, Taussat et Biganos.
Refrain :
Oui, le Bassin est sans rival au monde
Quand on le voit, on oublie ses chagrins.
Quel bonheur quand on glisse sur l’onde,
En chantant ce gai refrain :
Oui, le Bassin.
Nous respirons un air pur qui nous grise
Et quand sur l’eau joyeux nous naviguons,
Nous comprenons ce que chante la brise :
Quel bijou le Bassin d’Arcachon.
2ème couplet :
Entendez-vous au loin l’océan qui gronde,
Notre Bassin est loin d’être si méchant.
Ecoutez donc le murmure de son onde,
Il est berceur, harmonieux comme un doux chant.
Deux fois par jour la marée monte,
Recouvrant les parcs de ses flots ,
Les vagues sans doute racontent
Des histoires dans leurs sanglots :
Les Jacquets, Le Canon, Piraillan et Piquey,
Moulleau, Ferret, Pyla, Arcachon et Claouey.
Refrain
3ème couplet :
Sur le Bassin, les fervents du canotage
Viennent nombreux naviguer pendant l’été.
Pêche, yachting, avec tous les sports de plage
Bronzent le corps et fortifient la santé.
Dégustez donc nos huîtres saines,
Accompagnées d’un bon vin blanc
Et vous n’aurez aucune peine
A vivre tous jusqu’à cent ans.
Et, quand on a gouté,
La soupe de poissons,
On ne peut oublier
Le Bassin d’Arcachon.
Refrain
Et voici cette chanson, hymne du Bassin d'Arcachon, interprété par Marinelle (moi-même) :
Et une autre version de cette chanson interprétée par des Gujanais (cliquez sur bouton ci-dessous et attendez un petit peu avant que la vidéo démarre à 0:19) :
Merci à Laurence Téchoueyres pour ces vidéos enregistrées où j'apparais chantant la chanson.
En décembre 1868, un bateau portugais, Le Morlaisien, comportant une importante cargaison d’huîtres fut pris dans une tempête et ne put franchir les Passes d’Arcachon. Il dérouta, remonta la Gironde et la Garonne pour trouver refuge dans le port de Bordeaux où il resta immobilisé pendant plusieurs jours.
Les services vétérinaires de la ville de Bordeaux, s’apercevant que les huîtres, entassées dans des sacs, périssaient vue l’odeur particulièrement suspecte qui se dégageait, interdirent le débarquement de cette marchandise qu’ils jugeaient avariée.
Le navire redescendit le fleuve et son capitaine donna ordre à l’équipage de jeter par-dessus bord entre Saint-Vivien et le Verdon au niveau de la rive gauche de la Gironde.
Les huîtres qui avaient été jugées malades voire mortes reprirent des forces. Elles se multiplièrent en immenses bancs naturels.
Pendant près d’un siècle, l’huître appelée portugaise, de part son origine, fut cultivée dans le Bassin.
Mais, en 1970, une terrible maladie des bronchies décima la quasi-totalité des élevages.
Les ostréiculteurs ne se laissèrent pas abattre et décidèrent d’importer des huîtres du Japon. D’où l’arrivée de l’huître dite japonaises ou gigas.
Les huîtres cultivées actuellement sur le Bassin sont donc les descendantes de celles introduites en 1970.
Depuis 1992, certains ostréiculteurs ont implanté des parcs sur le Banc d’Arguin. Mais les autorités, qualifiant ces exploitants de “squatters” bien que tolérés, ont décidé de limiter les nombres des parcs et de poches par occupants. Il faut dire aussi que le Banc d’Arguin est une réserve naturelle pour les oiseaux et qu’il existe quelques querelles de clochers entre ostréiculteurs et protecteurs de la nature.
Un magnifique reportage sur l'ostréiculture sur le Bassin d'Arcachon !
A travers les siècles, l’huître a toujours eu sa place dans l’histoire.
- Les hordes guerrières, les peuplades autochtones et les tribus migratrices, ayant entendu l’appel de la mer, dévalisèrent les huîtres sur les bancs à proximité des rivages. Au cours des fouilles, les monticules de coquilles d’huîtres dont le tassement a formé de véritables carrières en portent témoignage.
- Les Romains de l’Antiquité, dont Néron, engloutissaient jusqu’à un millier d’huîtres en un seul repas. Les Romains, dévoreurs d’huîtres, se servaient des coquilles pour voter les punitions et sentences à infliger à ceux coupables de graves fautes. Les coquilles d’huîtres étaient aussi la base de leur système électoral puisqu’elles servaient de bulletins de vote.
- Louis XI, Roi de France, exigeait de majestueux plats d’huîtres aux réceptions de la Sorbonne.
- Henri IV demandait que des huîtres lui soient servies régulièrement d’où ses indigestions légendaires. Cet excès d’huîtres stimulait ses sens qui lui valurent son surnom de “Vert‑Galand".
- Louis XIV faisait partager son régal des huîtres à ses courtisans en sa cour.
- Napoléon 1er savourait des douzaines d’huîtres avant chaque grande bataille.
- Voltaire, Jean-Jacques Rousseau et Diderot n’ont-ils pas révélés que les indigestions fréquentes d’huîtres augmentaient l’inspiration de leur esprit créateur.
- Sans l’huître, le cours de l’histoire de la Révolution Française aurait pu aussi en être changé. En effet, Robespierre, Danton, Camille Desmoulins fréquentaient les boutiques de Paris puisant provision d’énergie et de volonté dans la dégustation des huîtres.
Pendant longtemps, l’huître a fait l’objet d’un tabou, à savoir que, durant les mois sans R, on ne devait pas la déguster. La perle du Bassin était donc boudée de mai à août (période de laitance et de reproduction).
L’empereur Napoléon III interdit même le ramassage de l’huître durant cette période de reproduction.
De nos jours, les connaisseurs savent que cette période de ponte n’entame en rien la qualité de l’huître, bien au contraire. Les ostréiculteurs vous diront même que sa saveur en est augmentée du fait de son “goût de noisette”.
Il est également à noter qu’il est prouvé que l’huître a de grandes vertus thérapeutiques car elle contient beaucoup d’iode et de calcium. Elle aide à soigner les gingivites, les douleurs osseuses et même la tuberculose pulmonaire. L’huître, encore plus riche que le lait, apporte un grand soulagement chez les personnes souffrant d’artériosclérose.
En 1951, Laurent de Brunhoff, familier du Bassin d’Arcachon, a écrit et illustré une BD "Babar dans l'île aux oiseaux" où il situe une des nombreuses aventures de l’éléphant Babar sur l’Ile aux Oiseaux.
L’histoire : les oiseaux invitent le roi Babar et sa famille (Pom, Flore, Alexandre et Isabelle, les 4 enfants de Babar et Céleste) à se rendre sur leur île. Là, ils rencontrent une multitude d'oiseaux qui leur font visiter leur nid ou leur offrent chacun une spécialité. Ils assistent même à une étonnante course d'autruches !
Sur ces photos, un exercice de sauvetage en mer par la SNSM sur le Bassin d'Arcachon (photo prise en janvier 2011 depuis la promenade du front de mer au Parc Péreire à Arcachon). En Gironde, la SNSM regroupe 250 personnes, toues bénévoles. La SNSM c’est une affaire de cœur et être bénévole, c’est être impliqué à instant, 24 h sur 24, 7 jours sur 7. Cette association fonctionne en plus de subventions sur les dons reçus et malheureusement ceux-ci sont en baisse. Les bénévoles sont des inscrits maritimes, retraités, artisans, professions libérales ou salariés qui consacrent leur temps de repos au sauvetage. Chapeau bas messieurs, et parfois mesdames, qui mettaient votre vie en jeu pour celle des autres !
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